Que vous deviez vivre avec une douleur articulaire chronique qui s’est développée lentement au fil du temps ou avec une douleur aiguë liée à une blessure récente, vous cherchez à soulager cette douleur. Une bonne gestion des douleurs articulaires accélère la récupération, évite les complications de santé et améliore votre qualité de vie globale. Les supports et orthèses FUTURO™ vous procurent le soutien, le confort et l’ajustement dont vous avez besoin, partout, tout le temps. En savoir plus sur les articulations, les pathologies fréquemment associées avec chaque articulation et en quoi les supports FUTURO™ peuvent vous aider.
Ces informations ne remplacent en aucun cas les conseils, diagnostics ou traitements proposés par les professionnels de santé. Consultez systématiquement un médecin quand vous vous posez des questions sur votre état de santé. Lire ce document ne doit pas vous empêcher d’aller consulter un médecin, ni retarder la prise de rendez-vous pour une consultation.
Le genou est l’une des articulations les plus massives du corps humain et l’une des plus complexes. Avec son incroyable amplitude de mouvements tridimensionnelle, les blessures, le vieillissement, les interventions chirurgicales ou le manque d’activité physique peuvent rendre le genou douloureux. Vous trouverez ci-dessous un aperçu des lésions fréquemment rencontrées.
Les lésions du ménisque sont généralement dues à l’usure de l’articulation – au fil du temps les tissus perdent de leur élasticité et ne sont plus assez fermes. Les accidents, comme ceux qui se produisent en ski ou au basketball, ne jouent bien souvent qu’un rôle secondaire. Si les traumatismes peuvent parfois provoquer des lésions directes, l’usure chronique ou la mauvaise utilisation de cette articulation au quotidien – même si nous n’en sommes pas conscients – constitue une autre cause de lésions. La douleur se fait sentir dans les mouvements quotidiens. Associées à des activités sportives et à une physiothérapie appropriées, les genouillères constituent l’un des éléments du traitement.
Les lésions des ligaments croisés ou blessures collatérales sont généralement dues à un accident où les forces externes appliquées sur le genou dépassent ce que les ligaments peuvent supporter. Que vous soyez en train de skier ou de jouer au football, une douleur intense, un genou qui enfle rapidement et les mouvements rendus difficiles, voire impossibles, évoquent une possible lésion ligamentaire. Lésion ligamentaire rime souvent avec intervention chirurgicale. Les genouillères viennent alors compléter les mesures de rééducation postopératoire.
Les dommages à l’articulation ou à son cartilage peuvent être causés par l’usure normale du genou liée à l’âge, mais également par la présence de jambes très arquées ou de genoux cagneux. Ces altérations peuvent se manifester progressivement, la douleur apparaissant pour la première fois au cours d’activités quotidiennes normales dans bien des cas. À un stade avancé, cette pathologie restreint fortement l’amplitude des mouvements de l’articulation. Les anti-inflammatoires et/ou les antalgiques associés aux genouillères peuvent aider à soulager, voire à faire disparaître la douleur.
Ce terme désigne diverses lésions liées à la rotule (ou patella). Il peut s’agir notamment de troubles musculaires dans la cuisse ou d’une malformation congénitale de la rotule qui a tendance à se déboîter latéralement. La douleur apparaît généralement lorsque le sujet marche, court ou se relève après s’être accroupi. Les options thérapeutiques comprennent des exercices axés sur les muscles de la cuisse visant précisément à améliorer leur capacité à maintenir la rotule en place et à la faire bouger de manière adéquate. Il est recommandé d’utiliser une genouillère.
Ces informations ne remplacent en aucun cas les conseils, diagnostics ou traitements proposés par les professionnels de santé. Consultez systématiquement un médecin quand vous vous posez des questions sur votre état de santé. Lire ce document ne doit pas vous empêcher d’aller consulter un médecin, ni retarder la prise de rendez-vous pour une consultation.
Le poignet est certainement l’articulation la plus importante, au travail comme dans la vie de tous les jours. Nous utilisons nos mains et nos doigts pour quasiment toutes nos tâches, que nous fassions du sport, de la musique ou que nous travaillions sur ordinateur. En raison de cette sollicitation constante, nos poignets sont exposés à un risque très élevé de blessures et, si l’on ajoute à cela le temps qui passe, l’utilisation excessive chronique finit par user ces articulations, ce qui entraîne des lésions douloureuses telles que celles décrites ci-dessous.
Les fractures du radius et du scaphoïde peuvent provoquer de violentes douleurs au niveau du poignet. En fonction du type et de l’emplacement de la blessure, la fracture doit tout d’abord être réduite, puis immobilisée par un plâtrage de l’avant-bras. Ce plâtre peut être retiré au bout de quatre à douze semaines environ. L’articulation blessée n’étant plus immobilisée à ce moment-là, le patient peut progressivement recommencer à s’en servir. La physiothérapie et l’utilisation de supports de poignet peuvent aider au rétablissement.
Fractures ou luxations des os carpiens, poignet mal ou trop sollicité pendant de nombreuses années, tout cela peut endommager les cartilages articulaires, provoquer une douleur difficilement localisable et parfois faire enfler le poignet. Les radiographies sont alors utiles pour poser un diagnostic clair. Les cas d’ostéoarthrite aiguë peuvent être traités avec des antalgiques accompagnés d’orthèses ou de supports qui empêchent les mouvements extrêmes du poignet. L’articulation blessée doit également être mise au repos et toujours protégée.
Les os et le ligament transversal du poignet forment le canal carpien par lequel passent divers tendons fléchisseurs ainsi que le nerf médian qui transmet les sensations aux doigts. La main devient douloureuse lorsque ce canal est comprimé, une compression due à des hématomes ou à une sollicitation excessive du poignet. Le symptôme le plus classique est une paresthésie douloureuse des doigts (comme une désagréable sensation de picotements), généralement la nuit. Si secouer ou frotter l’articulation blessée apporte un soulagement immédiat, le traitement à long terme atténue les symptômes par le recours à des attelles permettant l’immobilisation du poignet.
La ténosynovite est une pathologie qui touche les tendons situés sur le dos de la main qui étirent (étendent) les doigts et les pouces. Les problèmes apparaissent quand ces tendons enflent à la suite d’un effort intense ou en raison de changements causés par des maladies rhumatoïdes. L’articulation doit être mise au repos et de la glace peut être appliquée au besoin. Surtout, ne sollicitez pas l’articulation de manière excessive. Des anti-rhumatoïdes apportent un soulagement rapide de la douleur, tout comme les supports de poignet qui stabilisent la région concernée en la comprimant légèrement.
Ces informations ne remplacent en aucun cas les conseils, diagnostics ou traitements proposés par les professionnels de santé. Consultez systématiquement un médecin quand vous vous posez des questions sur votre état de santé. Lire ce document ne doit pas vous empêcher d’aller consulter un médecin, ni retarder la prise de rendez-vous pour une consultation.
La cheville est un mécanisme instable, au sens propre du terme ! Qui n’a jamais connu cette douleur après avoir raté une marche et s’être tordu la cheville ? En général, la douleur apparaît, car les ligaments latéraux ou la malléole externe ont subi une tension extrême, ce qui peut même provoquer une fracture. Si ces deux scénarios peuvent survenir dans la vie de tous les jours, on se blesse généralement l’articulation supérieure de la cheville quand on fait du sport. Il faut donc veiller à protéger la cheville pendant les activités sportives. Voici quelques exemples des blessures les plus courantes.
Lorsque le pied "pointe vers le bas", les os de la cheville sont moins stables et la stabilité de l’articulation est fournie par les ligaments et les muscles.
La torsion du pied vers l’intérieur – une des lésions ligamentaires parmi les plus courantes – provoque une déchirure plus ou moins grave du ligament externe (latéral) et rend tout mouvement de l’articulation supérieure de la cheville extrêmement douloureux. En pareil cas, il est recommandé de faire examiner l’articulation blessée par un médecin afin de s’assurer qu’il n’y a pas de fracture. En plus de la physiothérapie, le traitement comprend souvent la surélévation du pied, la pose d’une orthèse, la mise au repos, l’application de glace et la compression.
Ces informations ne remplacent en aucun cas les conseils, diagnostics ou traitements proposés par les professionnels de santé. Consultez systématiquement un médecin quand vous vous posez des questions sur votre état de santé. Lire ce document ne doit pas vous empêcher d’aller consulter un médecin, ni retarder la prise de rendez-vous pour une consultation.
Le coude est un espace restreint où on retrouve un certain nombre de structures anatomiques. Par ailleurs, dans la vie quotidienne, le bras étant soumis de façon constante à des tensions importantes, l’articulation du coude est très exposée aux lésions et aux pathologies. Le diagnostic et le traitement sont souvent longs et les symptômes peuvent être très variés. Cette page donne un bref aperçu des pathologies les plus fréquentes.
Les joueurs de tennis ne sont pas les seuls concernés par cette pathologie : différentes activités quotidiennes comme le travail à l’ordinateur ou les tâches manuelles peuvent aussi endommager cette articulation en sollicitant excessivement les muscles du poignet et les extenseurs des doigts. Il peut en découler des douleurs lancinantes intenses, localisées essentiellement sur la partie externe de l’articulation du coude. Le traitement consiste à mettre l’articulation au repos et à éviter les mouvements qui déclenchent la douleur. Les antalgiques à application locale et les supports de coude peuvent également soulager, tout comme la physiothérapie.
Le golf elbow résulte de la sollicitation excessive chronique des muscles fléchissant le poignet et les doigts. Comme pour le tennis elbow, le traitement passe souvent par la mise au repos, des antalgiques et le recours à des supports de coude.
On estime que 75 % des êtres humains souffrent occasionnellement ou constamment de douleurs dorsales, ce qui en fait le deuxième motif de consultation d’un orthopédiste. C’est la colonne lombaire qui est la plus touchée lorsque nos articulations s’usent avec l’âge, ce qui rend subitement douloureuse la position debout, une activité accomplie d’ordinaire sans y penser. Voici quelques-unes des blessures au dos les plus courantes.
Les disques constituent une source de douleur intense dans les vertèbres. Les disques intervertébraux élastiques situés entre chaque vertèbre font office de ressorts et d’amortisseurs et permettent aux vertèbres de bouger. Si les disques deviennent plus minces, les articulations de la colonne vertébrale s’useront à long terme et les canaux des racines nerveuses se rétréciront. Ces changements entraînent des irritations douloureuses des racines nerveuses et une tension douloureuse des muscles dorsaux. Il arrive que la douleur irradie vers les fessiers et les cuisses ; le terme "lumbago" désigne une douleur aiguë et subite. Des analgésiques puissants et l’alitement contribuent à soulager la douleur en phase aiguë. Le port d'une ceinture lombaire et la physiothérapie peuvent eux aussi s’avérer efficaces.
À un stade avancé, les anneaux fibreux qui entourent le disque finissent par se déchirer sous l’effet de l’usure et le noyau du disque fait saillie, ce qui irrite les nerfs rachidiens. Il en résulte une tension extrêmement douloureuse des muscles du dos qui rend les mouvements quasiment impossibles. Cette douleur peut également irradier dans les fessiers et les jambes, provoquant des troubles neurologiques tels que paresthésie et faiblesse. Une radiographie de la zone touchée doit être pratiquée, ainsi qu’un examen par IRM ou scanner. Un électrodiagnostic (EMG) est utilisé pour détecter les lésions nerveuses. En cas de hernie discale aiguë, il est utile de prendre des antalgiques puissants. De la rééducation peut être envisagée une fois les symptômes aigus atténués. Les ceintures lombaires, constituent elles aussi un élément incontournable du traitement.
D’une simple raideur de la nuque aux conséquences d’un « coup du lapin », les patients se plaignent souvent de douleurs au niveau du cou. La douleur étant susceptible d’irradier jusque dans l’épaule et le bras, il peut être délicat d’en déterminer précisément l’origine. Cette page donne un bref aperçu des pathologies les plus fréquentes.
Les sept vertèbres cervicales, les disques qui les séparent, les nerfs du cou et des bras, les artères qui irriguent le cerveau ainsi qu’un réseau de ligaments : tous ces éléments sont confinés dans un espace restreint au niveau du cou. Ce sont ces zones fonctionnelles qui nous permettent de tourner, de baisser et de relever la tête. Comme tous les autres articulations et systèmes, la colonne vertébrale est sujette au vieillissement normal, mais les tensions ou surcharges peuvent également provoquer des altérations douloureuses. De plus, des facteurs psychologiques tels que le stress, par exemple, peuvent entraîner de mauvaises postures et une certaine tension musculaire.
"La plupart du temps, les douleurs au niveau du cou sont dues au rétrécissement des foramens intervertébraux, ainsi qu’à des lésions des disques intervertébraux, ce qui peut finir par comprimer les nerfs. Au départ, la douleur apparaît dans la zone du rachis cervical qui se tend et se durcit. La douleur irradiant vers le bas dans les épaules et les bras peut entraîner une paresthésie. Ces douleurs sont généralement soulagées par l’application locale de chaleur et par de la physiothérapie avec massage des muscles du cou. Des relaxants musculaires peuvent également être prescrits, tout comme un collier cervical et/ou un support de cou, qui procurent de la chaleur et limitent les mouvements douloureux."